RECONNAÎTRE LES SIGNES CORPORELS
Le burn-out est sournois, le temps qu’on s’en rende compte, il est souvent déjà bien installé. Passionné par son travail on a tendance à négliger les signer que nous envoient notre corps. Parmi ces signes, les plus courant sont : la fatigue chronique, la prise ou perte de poids, des maux minimes mais récurrents (rhume, migraine…), ou encore des troubles de sommeil… lorsqu’ils arrivent à répétition, il est important de faire attention, de lever le pied et surtout d’apprendre à s’écouter, écouter son corps. Cet état pourrait trouver son origine dans le fait d’avoir l’impression de ne jamais arriver au bout de la tache/mission qu’on s’est fixée.
Pour les salariés, les périodes de transition de type prise poste, promotion ou encore retour de congé maternité sont des situations où est le plus vulnérable et donc davantage exposé au burn-out. Pour les entrepreneurs c’est un peu tous les jours et tout le temps, compte tenu de la nature polyvalente de leur position. On pourrait cependant penser que la période de prospection est l’une des plus stressantes à vivre, l’une de celles qui les rend fragiles, voire nerveux. Comme les entrepreneurs, les personnes en recherche d’emploi sont dans une période de stress intense. Plus la période sera longue, plus ces personnes sont démotivées et susceptibles d’être fragiles émotionnellement.
CULTIVER LE LIEN SOCIAL
Quand on traverse de période difficile on a tendance à se couper du monde, surtout de ceux qui pourraient nous aider ou nous réconforter, nous écouter. Parmi les proches, il y’en a toujours un qui a la capacité à écouter sans juger, regardez bien autour de vous, il est certainement plus près que vous ne pensez.
Comme avec un thérapeute, il arrive quelque fois que le simple fait de verbaliser son mal être nous permette de nous rendre compte de ce qui ne nous arrange plus.
SAVOIR ORGANISER SON TRAVAIL
Des études démontrent que des salariés en 4/5ème sont aussi productifs que ceux à temps plein. Ils s’organisent pour avoir leur journée en moins et surtout ils trouvent le moyen d’être efficace. Bien entendu, il faut tenir compte de l’environnement de travail. Si on est en France, il sera bien vu de rester tard pour son travail (on s’investi parait-il), aux USA, ça peut être mal perçu de terminer tard (ça peut être interpréter comme le fait de ne pas être assez efficace dans la journée). Selon le pays dans lequel on travail, il y a des codes à prendre ne compte mais ce qui ne change pas c’est le fait qu’avoir une bonne organisation au travail rend efficace.
Travailler efficacement c’est apprendre à repérer les urgences, les priorités tout en évitant les distractions ( SMS, notifications… ), c’est aussi apprendre à déléguer.
Il parait que concernant le travail, la quête de plaisir va de pair avec celle du sens. Pourquoi travaillez-vous ? la question est aussi importante que la réponse. Ce qui donnera la direction vers laquelle orienter sa carrière, ses prochains pas et activités.